Lettres de Guillaume Daniel, clerc du roi de France et lieutenant de Jean Berenger, sergent d'armes dudit roi et bayle de Limoges, portant que comme ledit "bailli avait fait citer pour le mercredi après la Saint-Hilaire Simon la Chassanha, bourgeois d'Egletons, et le procureur du roi, Jean Espinatz, procureur de l'évêque, Jacques d'Enguillelme, procureur de Simon, et Geraud de Pomières, procureur substitut du roi, il fut prononcé que ledit Jacques ne pouvait pas être admis comme procureur de Simon (au sujet du procès entre l'évêque et Simon sur Sadran). Pierre Hugue, aussi bourgeois d'Egletons, est aussi récusé comme procureur. Le dimanche suivant, session en présence d'Aimeri Fricon, garde du sceau à Leront. Le lundi, il est décidé de remettre l'affaire au bailli, qui est à Paris au Parlement. Suivent lettres de J. Berenger, datées de Limoges, lundi après Noël 1313, à P. Garanh, P. Lusso et à ses autres sergents, leur transmettant les lettres du roi (Paris, lundi après la Saint-Luc) et leur mandant de citer à Limoges ledit Simon et le procureur du roi. Arrêt "in parlamento nostro in octabas Pasche" 1309, portant que la main de l'évêque devait être replacée dans la châtellenie de Comborn. 15 mai 1309 : mandement aux sénéchaux de Poitou et de Périgord et au bailli de Limoges, leur mandant de protéger l'évêque et d'apposer s'il y avait lieu la main du roi avec la sienne. Suit procuration de l'évêque, du 13 janv. 1314. Procuration de Jacques, datée de 1313. Notaire : Etienne de Saint-Yrieix, clerc de Limoges, notaire par autorité du roi de France. Original parchemin, scellé sur cordelettes.