Lettres du vicomte de Pont de l'Arche, portant que par devant Raoul Lenglois, son tabellion juré à ce faire, Jehan Daillet et Jeanne, sa femme, ont reconnu que tout ce qui est contenu dans la lettre d'échange "parmy lesquelles ces presentes sont annexées est leur propre fait. Et jura ladit Johanne sur sainctes euvangillez" qu'elle et son mari donnent en échange Ricart-Dailler "si comme il est contenu et devisé en ladite lettre" et qu'elle ne réclamera rien là-dessus, (échange de terres à Tourville, n°100 1309, "die martis ante festum O.S.".).