Instrument public, reçu par Guilhem Maury, notaire public de la cour royale de Carcassonne, et grossoyé sur son ordre par Ramon Fauré de Carcassonne, notaire public par autorité royale, de la sentence portée par Jean d'Alnet, chevalier du Roi, sénéchal de Carcassonne et de Béziers, assisté de Pierre Poitevin (Peyre Pétavy ?), juge-mage, entre fr. Ramon de Mayrières, commandeur de l'Hôpital d'Homps (de Ulmis), portant que le commandeur a droit à ce qu'il demandait, et ordonnant que cesse le trouble y apporté par les gens du Roi. Le procès avait commencé devant Guiraut Gaillard, juge de Minervois, défunt depuis, commis par Gui Chevrier, alors sénéchal de Carcassonne et de Béziers. La sentence défend aux habitants d'Olonzac de faire paître leurs bestiaux, ou de couper du bois sur les terres du commandeur (Limitées au Nord par le territoire d'Opian, au par Olonzac et le chemin de Narbonne). (qui se plaignait du bayie royal d'Olonzac). n°6 - vidimus de cet instrument : 6 avril I40I - double de ce vidimus : Homps 4, Olonzac n°2. Double : Homps 4, Olonzac, n°I. Vidimus de 1373 : Homps 4 Olonzac n°4.