Lettres de Pierres de Hangest, bailli de Rouen, portant que comme le prieur de Saint-Aubin de Presnes avait justicié lolusieurs hommes demeurant à Anfreville en la Campagne "pour ce qu'il alassent a ses plez a Saint-Aubin" et que lesdits hommes avaient mis "gaige plege que ledit prieur les avoit a tort justicies" vu qu'ils disaient être hommes du roi, ledit prieur avait été mis en la main du roi et "nos seigneurs,tenant l'échiquier" de Pâques 1309, avaient commandé au bailli de faire une enquête. Le bailli avait commis Laurent Tiart, alors vicomte de Pont de l'Arche. Il fut jugé par les chevaliers et les sages en l'assise du Pont de l'Arche, du mardi après la Saint-Clément 1310 que la saisine desdits hommes appartenait audit prieur et le bailli fit lever l'empêchement et rendre au prieur par le sergent la saisine des "namps", que lui ou ses devanciers avaient pris sur lesdits hornmes.