Lettres de Jehans de Pargni, escuyer, garde dou seel de la prévôté de Vitri, portant que "Estiene filz Gillet de Saint-Quentin, escuyer, demeurant à Pontion, et damoiselle Emangarz, sa femme", ont reconnu avoir vendu à Monseigneur Adan, souz-chantre de Notre-Dame, 6 journeux de terre arable à Pontion au lieu dit "a la Planche a Monciaux delez les prez de la maladrerie de Bruisson" et 1 journel et demi au lieu dit "au paquiz Ysabelon", 2 autres journeux "sus le chemin dou pré de Beronne", - pour 20 l. de bons petits tournois. Ils renoncent notamment "au droit dou saige Adrien qui fait pour les dames". Original parchemin [scellé sur double queue]. Lettres du même : Perrez, fils Brilon de Pontion et Marguerite, sa femme, ont reconnu avoir vendu à Monsignour Adan 1 journel de terre à Pontion au lieu dit à l'Ourme, Pour 100 s. de bons petits tournois. Les 2 même écriture. Original parchemin [scellé sur double queu]. Du même : Huiarz de Bruisson et Felippe, sa femme, au même, 2 journelx et demi de terre à Bruisson, pour 12 l. de bons petits tournois. Original parchemin [scellé sur double queue]. Lettres de Bretrans dit Malrainnables, garde de la prévôté, Guioz de Pontion, escuyer, fix Thiebout de Targes, et damoiselle Marguerite, sa femme, (vente au même) de plusieurs pièces de terre à Pontion, - pour 20 l. de petits tournois.