Lettres de Vincent Tanqueré, "baillif de Gisors et de Vernuil", portant que comme les religieux de Lire demandaient la dîme des amendes et exploits de la forêt de Breteuil qu'il avait arrêtée du commandement du roi à l'instance de Gilet de Senlis, adonc collecteur, et avaient obtenu des lettres du roi en l'assise de Breteuil, il trouva par "bones genz dignes de foy" que les religieux étaient en droit de prendre ladite dîme et rendit auxdits religieux la possession desdites choses. "seel de la baillie de Gisorz". Original parchemin [scellé sur double queue].