Lettres du "ballif" de Caen, portant que comme le prieur de Sainte-Barbe lui avait apporté une lettre concernant le patronage de l'une des portions de l'église Notre-Dame de Baron, du bailli de Caen (procès aux assises de Caen entre le prieur et le convent de Sainte-Barbe, d'une part, et Maheut de Gouviz et Jehan d'Argences, écuyer, d'autre part, enfin aux assises d'Huymes l'enquête prouva que le droit appartenait auxdits religieux), adjugeant ce droit à Sainte-Barbe (1279, an.st.,"le maardi apres le diemenche que l'en chante Isti sunt dies, en mois de avril), disant que Giefroi de Villiers, fils et hoir de ladite dame avait présenté un candidat à la mort de Me Nicole Pasque, sur commandement des maîtres de l'Echiquier de la Saint-Michel 1311 ("fu commandé audit ballii que il fist tenir et garder ladite gaaigne"), il fit ajourner ledit G. devant lui pour le "diemenche apres la Touz Sainz" et qu'il le jugea par défaut, le sergent Guillot Morel l'ayant ajourné sans résultat, avec commandement audit sergent de justicier et contraindre ledit G. et de lui faire savoir qu'il doit se trouver "au tiers jour de la prouchaine assise de Falaise". Original parchemin, sceau (disparu) sur simple queue