Nicolas de la Forest, garde du sceau du roi de France établi à Montmorillon, notifie la vente faite pour 100 s., par Pierre de la Beraudera et Rose, sa femme, à Jean Sanson, de 4 pipes de vin, 2 setiers et une mine de seigle, 2 ras d'avoine et 10 s., à payer chaque année à la Saint-Michel une pipe de vin et le blé [ = seigle et avoine] et les sous à Noël, à percevoir pendant 4 ans, depuis la Saint-Michel 1297, à Pruniers et dans la paroisse de Pinedray, sur les tenanciers dit Bon Amie Guinaut (un prébendier de seigle, un ras d'avoine et 5 s.), Gruillaume aus Martines, Geoffroi dit Bornohaus (un bois seau de seigle, un ras d'avoine et 2 s. pour Guil. aus Martines, un demi ras d'avoine et 3 s. pour Geoffroi dit Bomohaus. Original parchemin, fragment de sceau sur simple queue Ibid. 273 : analyse XVIIIe siècle