A.M. Saint-Antonin FF 1

A la garde de l'Oimet ; 19 avril 1297 Die veneris post [Pascha]

Instrument public, en latin, reçu par Ugon Petit notaire public du roi, dont la minute a été écrite par Jean de Fons, notaire public de la sénéchaussée de Périgord et de Quercy (et qui a été grossoyé après la mort dudit notaire par Jean Rotger, notaire de la sénécnaussée de Rouergue, sur mandement de Jean de Troyaco (?), sénéchal, rendu à la demande des consuls de Saint-Antonin), de l'ordonnance rendue par Etienne, prieur du monastère de Saint-Antonin, et par Jean Antoine, docteur en lois, chanoine de Péronne et juge de Cahors, sur le terroir de l'Olmet, ordonnance que les consuls de Saint-Antonin et de Caylus, dont elle termine le différend, s'engagent à observer, sous peine d'une amende de 100 marcs d'argent (la part de Saint-Antonin ira jusqu'au pas de Roqueu corbière, au combal de las Assieras et jusqu'au chemin de Caylus à Caussade ; la partie de l'ordonnance relative au bétail est en langue vulgaire). La grosse est du 8 janvier 1310 (die jovis post festum Epiphanie), date de l'apposition du sceau des consuls de Caylus. Original parchemin, seing du notaire. Sceau disparu, reste double bande de parchemin (trous).

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Citation

“A.M. Saint-Antonin FF 1,” IDeAL, accessed May 2, 2024, https://ideal.irht.cnrs.fr/document/19627.